We will survive!
Préparer adéquatement les élèves aux évaluations d’étape? – 10 heures.
Faire de la récupération avec les élèves en difficulté pour leur donner un maximum de chance de réussite? – 8 heures.
Élaborer des évaluations réalistes en fonction du contexte éducatif réel d’une classe québécoise pour remplacer les évaluations complètement déconnectées des guides pédagogiques? – 20 heures.
Corriger lesdites évaluations? – 10 heures.
Évaluer, de la manière la plus juste et la moins objective possible, les diverses compétences enchevêtrées dans un même examen 24 fois? – 17 heures.
Établir la note pour chaque compétence en regard de tout ce qui a été fait au cours de l’étape? – 4 heures.
Revérifier les notes de l’étape et changer certains résultats après une nuit à en rêver? – 1 heure (plus les 6 heures de la nuit).
Entrer les notes dans le système informatique de la commission scolaire? – 1 heure.
Revérifier et rechanger les notes dans le système informatique après une journée de réflexion? – 1 heure (plus les 6 heures de la journée précédente passées à douter).
Agrafer et photocopier les nouveaux bulletins de 4 pages pour les dossiers des élèves? – 1 heure.
Organiser les rendez-vous de parents, échelonnés sur 4 heures pour 24 élèves, tout en tenant compte des rencontres des frères et sœurs dans d’autres classes? – 2 heures (plus quelques prises de bec avec les consoeurs).
Se préparer psychologiquement, physiquement et matériellement à la rencontre de chaque parent? – 1 heure (plus les 6 heures de la journée à stresser).
Rencontrer chaque parent avec son enfant, expliquer de long en large chaque note qui n’est vraiment pas claire tellement le bulletin est mal pensé? – 5 heures (parce qu’on dépasse toujours le temps prévu).
Manger, dormir, relaxer, écrire sur son blogue? - …hein?
Survivre à tout ça en deux semaines? Ça n’a pas de prix!
Pour le minimum de support et de reconnaissance, il y a le gouvernement et les commissions scolaires.
Pour tout le reste, il y a les enseignants.
Faire de la récupération avec les élèves en difficulté pour leur donner un maximum de chance de réussite? – 8 heures.
Élaborer des évaluations réalistes en fonction du contexte éducatif réel d’une classe québécoise pour remplacer les évaluations complètement déconnectées des guides pédagogiques? – 20 heures.
Corriger lesdites évaluations? – 10 heures.
Évaluer, de la manière la plus juste et la moins objective possible, les diverses compétences enchevêtrées dans un même examen 24 fois? – 17 heures.
Établir la note pour chaque compétence en regard de tout ce qui a été fait au cours de l’étape? – 4 heures.
Revérifier les notes de l’étape et changer certains résultats après une nuit à en rêver? – 1 heure (plus les 6 heures de la nuit).
Entrer les notes dans le système informatique de la commission scolaire? – 1 heure.
Revérifier et rechanger les notes dans le système informatique après une journée de réflexion? – 1 heure (plus les 6 heures de la journée précédente passées à douter).
Agrafer et photocopier les nouveaux bulletins de 4 pages pour les dossiers des élèves? – 1 heure.
Organiser les rendez-vous de parents, échelonnés sur 4 heures pour 24 élèves, tout en tenant compte des rencontres des frères et sœurs dans d’autres classes? – 2 heures (plus quelques prises de bec avec les consoeurs).
Se préparer psychologiquement, physiquement et matériellement à la rencontre de chaque parent? – 1 heure (plus les 6 heures de la journée à stresser).
Rencontrer chaque parent avec son enfant, expliquer de long en large chaque note qui n’est vraiment pas claire tellement le bulletin est mal pensé? – 5 heures (parce qu’on dépasse toujours le temps prévu).
Manger, dormir, relaxer, écrire sur son blogue? - …hein?
Survivre à tout ça en deux semaines? Ça n’a pas de prix!
Pour le minimum de support et de reconnaissance, il y a le gouvernement et les commissions scolaires.
Pour tout le reste, il y a les enseignants.